Dans Les Lettres françaises du 13 novembre 2014, à propos de L’Être double

… « L’exaltation constante de ce roman enflammé le fait assurément dater, mais ne doit pas occulter le véritable trésor poétique qu’il contient et apporte un élément jusqu’ici ignoré de l’histoire du japonisme…  »
« Il révèle aussi que toute une classe intellectuelle réfléchissait, au début du XXème siècle, aux rôles masculin et féminin, au moment même où Wilde devait le payer si cher, où Gide écrivait son Corydon et où Proust concevait un des tableaux les plus puissants de la diversité des sexualités et des passions, poursuivant l’ouvre pionnière de Balzac. «