LYON CONTRE LE SIDA

De 17 heures à 23 heures, au Palais de la Mutualité, 1 place Antonin Jutard :

– scène ouverte
– table ronde
– conférence de Didier Roth-Bettoni, auteur de Les Années sida à l’écran
– projection du film Zero Patience de John Greyson

SALON DE L’AUTRE LIVRE

EROSONYX ÉDITIONS AU SALON DE L’AUTRE LIVRE 2017

Espace des Blancs Manteaux, 48 rue Vieille du Temple 75004 PARIS
Métro « Hôtel de Ville »

Vendredi 17/XI : de 14 à 21 heures
Samedi 18/XI : de 11 à 21 heures
Dimanche 19/XI : de 11 à 19 heures

Entrée libre

VENEZ NOUS VOIR STAND A 26

Après l’émission de France Culture sur les années sida le 22 août 2017

Didier Roth-Bettoni, Robin Campillo et Elisabeth Lebovici pour son livre Ce que le sida m’a fait publié par jrp/ringier et La Maison rouge, sont reçus par Géraldine Mosna-Savoye.
Robin Campillo souligne judicieusement qu’au même moment sortent deux livres et un film sur le même sujet :

Les Années sida à l’écran de Didier Roth-Bettoni,

Ce que le sida m’a fait d’Elisabeth Lebovici,

120 battements par minute de Robin Campillo sorti sur les écrans ce 23 août 2017.

Rappelons Le Journal du sida-Chroniques 1994-2013 de Didier Lestrade (Books on demand), paru en 2014 et republié récemment.

Il aura fallu 25 ans ou plus pour faire le point sur les ravages d’une épidémie et sur la rage de lui survivre, comme il aura fallu près de 10 ans pour passer avec Act-Up, face à cette épidémie, de la sidération à l’action !

Didier Roth-Bettoni de son côté a souligné que si, dès 1985, aux États-Unis , le cinéma avec An Early Frost ( (Un Printemps de glace) montre des images compassionnelles, il faudra du temps pour que naisse un cinéma militant comme, entre tant d’autres films, le Zero Patience de John Greyson en 1993.

A écouter ou réécouter en cliquant sur le lien

https://www.franceculture.fr/personne-didier-roth-bettoni.html

Le 19 juin au Brady  »Zero Patience »

Ce fut une belle soirée. Les deux salles étaient pleines et, une fois la projection finie, les spectateurs qui le désiraient se sont retrouvés dans l’une d’elles pour le débat qui a suivi le film.

On a vu parmi les invités John Greyson lui-même, souriant, détendu, heureux que son film revoie le jour, près de 25 après sa sortie en Amérique du nord, et vivement applaudi en fin de séance. Il y avait aussi Thomas Waugh, professeur à l’université Concordia de Montréal – un grand merci à la contribution de cette université pour avoir financé la venue de John Greyson et de Tom Waugh en France en vue de cette soirée. Thomas Waugh est connu comme l’historien du cinéma LGBT et cinéma queer.

John Greyson ne parlant pas couramment le français, Jordan, Arseneault a brillamment assuré la traduction simultanée des questions qui lui étaient posées et de ses réponses. Canadien lui-même, Jordan Arseneault est le coordinateur de MEDIAQUUER, catalogue accessible gratuitement et qui répertorie vidéos et films canadiens et/ou québécois LGBT et leurs réalisateurs : mediaqueer@concordia.ca

Parmi les invités, il ne faut pas oublier Didier Roth-Bettoni, auteur de Les Années sida à l’écran (avec le DVD du film Zero Patience) qui était déjà intervenu quelques jours auparavant à une rencontre à la librairie Les Mots à la Bouche autour de son livre.
Signalons aussi la présence d’Antoine Damiens, arrivé lui aussi de Montréal (John Greyson, pour sa part, venait de Toronto). Antoine Damiens travaille actuellement sur le cinéma queer, sous la direction de Thomas Waugh.

Oui, ce fut une belle soirée.

Ci-desous, vus de dos ou de biais, de gauche à droite Anne Delabre de l’association Le 7ème genre, John Greyson, Thomas Waugh, Didier Roth-Bettoni.

Aux Mots à la Bouche, à Paris, le 16 juin, à 19 heures, en « avant-première »…

A la librairie Les Mots à la Bouche, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, Didier Roth-Bettoni présentera son dernier livre Les Années sida à l’écran. Une signature suivra la rencontre, avant la projection dans le cadre de l’association Le 7ème genre, le lundi 19 juin, du film Zero Patience de John Greyson au cinéma Le Brady, boulevard de Sébastopol, à Paris (X), en présence du réalisateur John Greyson tout juste arrivé de Toronto (Canada).

AU Brady, le 24 avril, le 7ème genre présente GO FISH

GO FISH

Réalisé par Rose Troche (1994), avec VS Brodie, Guinevere Turner, T Wendy McMillan, Migdalia Melendez, Anastasia Sharp

Go Fish est un film indépendant qui a fait figure de pionnier lors de sa sortie en 1994 aux États-Unis. Il se distingue par son ton libre et son intrigue libérée des trames dramatiques faites d’ostracisation et de ‘coming-out’ douloureux. Rose Troche (The L Word, Six Feet Under), fraîchement diplômée d’école de cinéma, et Guinevere Turner jeune scénariste (American Psycho) et actrice (The Watermelon Woman), sont motivées par l’absence de représentation de la culture lesbienne qu’elles connaissent à Chicago. Elles s’appuieront sur leur communauté artistique pour faire un film décomplexé, dont l’intrigue minimaliste permet l’expression d’un quotidien lesbien peu documenté. Christine Vachon (productrice de Todd Haynes, Larry Clark, John Waters, etc) les soutiendra pour produire ce film, aujourd’hui au panthéon du New Queer Cinema des années 90.

Notre invitée : Anne Crémieux maîtresse de conférence à l’Université Paris-Ouest-Nanterre, spécialiste de la représentation des minorités dans le cinéma américain

En partenariat avec Carlotta Films, 5 DVD à gagner à chaque séance du ciné-club.

Entrée : 8.50€ >> 6.50€ en réservant dès maintenant sur http://www.lebrady.fr

Carte Brady : 6€ (5 places valables 6 mois, carte utilisable pour 1 ou 2 personnes à une même séance. Réservation en ligne des places sans frais)

Adhérents 7e Genre: 5€ (réservation avec code promo internet adhérent et sur présentation de la carte sur place)

Cartes UGC Illimité et Le Pass acceptées (ouverture des ventes 1h avant la séance sous réserve des places encore disponibles)

« La Truite rompt la glace » aux Mots à la Bouche le 16 mars

Recueil inédit, bilingue (russe-français) d’un grand poète russe de l’Âge d’argent, injustement oublié ou du moins méconnu. Ne sont connus de lui, en français, que son roman Les Ailes et deux ou trois autres publications, en prose également.
Né en 1872, mort en 1936, sous Staline, Kouzmine a vécu à St-Pétersbourg.

Avant la Révolution de 1917, il a été connu comme l' »Oscar Wilde de St-Pétersbourg » et, remarqué pour son dandysme, passait pour « l’homme aux 365 gilets ». Réalité ou légende ?

Au BRADY, le 7ème genre présente :

Le 27 février La Reine Christine de Rouben Mamoulian

Le 20 mars Nettoyage à sec d’Anne Fontaine

Le 24 avril Go fish de Rose Troche

Le 22 mai Vivre me tue de Jean-Pierre Sinapî

Le 19 juin Zero Patience de John Greyson à l’occasion de la sortie du livre de Didier Roth-Bettoni autour de ce film.

http://le7egenre.fr/