De notre correspondant à Leipzig (Allemagne )…

Der Ring der Nie Bezwungenen
Erzählung
von Stephan Weitzel

Hannes Franzmann, Verlagsmitarbeiter, reist zu einem Kongress nach Leipzig. Es ist das erste Jahr der Pandemie, die Ausgangsbeschränkungen sind kurzzeitig aufgehoben. Bei einer Stadtführung entlang des Promenadenrings lauscht er den Erzählungen des Gästeführers. Endlich wieder unter echten Menschen. Luft spüren. Stadt riechen und sehen und hören.

Leipzigs reiche Vergangenheit voller europäischer Kulturgeschichte wirft Licht auf die Fragen der Gegenwart. Sind Franzmanns Überlegungen, die als zweite Stimme einen imaginären Dialog entflammt, gar ein Pamphlet gegen den technischen Fortschrittsglauben?

Sein Gespräch mit einem Kollegen an der Hotelbar wird zum Plädoyer für etwas, das ihnen beiden am Herzen liegt. Die alte Buchstadt Leipzig, sie ist noch immer da. Und in den Tiefen der Nacht erfährt Franzmann, was es wohl auf sich haben könnte mit dem Bezwingen.

Eine überraschende poetische Außensicht auf den Leipziger Ring, für einheimische Leser geradezu erfrischend wie eindrucksvoll, was wache Besucher hier im Rundgang auf- und mitzunehmen vermögen.

Récit, augmenté d’une cinquantaine de photographies pleine page
204 pages couleur, éditions Sax, 2021

Le titre : « Le Ring de ceux qui n’ont jamais été vaincus », fait référence à la fois au périphérique qui entoure le petit centre-ville historique de Leipzig et aux manifestations paisibles d’automne 1989 qui, le long de ce périple, ont mené à la chute de la RDA, au Ring de Wagner, fils de la ville, mais aussi au ring de boxe comme synonyme de toutes les luttes.

Le livre : Hannes Franzmann, employé d’une maison d’édition, voyage à Leipzig pour participer à un congrès. C’est l’an I de la pandémie, les restrictions du confinement sont temporairement suspendues. Pendant une visite guidée de la ville, il écoute le récit du guide. Enfin de retour parmi de vraies personnes ! Respirer l’air. Humer la ville, la voir, l’entendre.

Le riche passé de Leipzig, riche d’histoire de la civilisation européenne, oriente les phares sur les questions du présent. Les réflexions de Franzmann qui enflamment comme une seconde voix narrative un dialogue imaginaire, seraient-elles un pamphlet contre la confiance dans le progrès technique ?
Son entretien avec un collègue au bar de l’hôtel devient un plaidoyer pour quelque chose qui leur tient à cœur à tous deux : Leipzig, la vieille ville du livre, elle est toujours là. Et c’est dans les profondeurs de la nuit que Franzmann apprend de quoi il pourrait s’agir, dans cette question de ne jamais se laisser vaincre.